Bien sûr ces constats peuvent inquiéter, le mythe de la fin du monde existe depuis des millénaires dans les civilisations, puis le cap est franchi et c’est raté, il n’y a pas eu de fin du monde. Je pense que les auteurs sont sincères, comme peuvent l’être ceux qui doutent de leurs certitudes.
Il faut nous méfier de ne pas affaiblir ce que nous exagérons par notre passion, peut être notre désespoir.
Je constate aussi que ces fonds de commerce peuvent parfois apporter des nuisances comme on l’ a vu avec les nouvelles ampoules, avec le super sans plomb si dangereux, avec les panneaux solaires ...qui coûtent tant d’énergie à fabriquer...
Des politiques nous ont promené avec le CO2....Voir dans la table des news...
« Manipulation de l’opinion, fonds de commerce écologiques »
Je pense surtout que nous devons être modestes. Nous croire capables de détruire la planète est nous donner une puissance que nous n’avons pas, diaboliser tout ce qui dérange.
Dans tout ce qui est exprimé, - merci à ceux qui le font, - il faut choisir, ne pas se précipiter. J’enrage quand je vois le comportement de certains donneurs de leçons, qui nous verraient bien reprendre tous la bicyclette pour qu’ils puissent, eux, s’envoyer en apesanteur autour de la planète...ou déjà prendre l’avion sans nécessité absolue ( je pense aux canadairs pendant les incendies, aux hélicos de secours pour définir la nécessite absolue..).
J’évolue dans mes comportements grâce à ces donneurs d’alarme, mais je n’en ferai pas une doctrine. Cela donne un sens à la vie de chercher, et de toute façon, l’essentiel dans l’univers n’est pas spécialement NOUS !