@ l’auteur de l’article :
Votre mauvaise foi ne m’effraie pas. Sachez que je n’ai rien contre le fait que vous vous opposiez à Mélenchon. Je pointe juste le procédé que vous employez, et qui demeure celui d’un torchon de tabloïd. Votre analyse ne porte pas sur les idées ou le programme du candidat, qui constituent pourtant le seul matériel critique valable pour rédiger un article de qualité.
Vous me conseillez d’acheter des lunettes. Fort bien. Votre humour est plutôt gauche, si vous me permettez l’expression. Il n’en reste pas moins que vous détournez le sens de ma démonstration. Je vous rappelle que je critique la forme de votre article et la forme de vos réactions. Quand vous vous permettez de démembrer systématiquement les messages de vos contradicteurs, vous saccagez la cohérence des réponses. C’est également une forme de sophisme.
J’en reviens à la réponse que vous avez publiée à l’adresse de conall :
La longue série de questions que vous énumérez ne soulève aucune contradiction dans le message de conall. En vérité, vous ne faites que noyer le poisson en utilisant des allégations, des sous-entendus ou des postulats (exemple : votre propos sur la franc-maçonnerie sous-entend que vous la considérez comme un lobby de l’oligarchie. Une fois encore, c’est votre droit de le penser. Mais cela n’en fait pas un fait pour autant). Autant dire que votre motivation en rédigeant votre article n’est pas de susciter le débat, et encore moins d’écouter ou d’analyser les réactions.
Pour le reste, je ne vais pas épiloguer sur le pseudonyme « conall ». Vous partez du postulat que votre humour est unanimement reconnu, soit. Mais ce n’est pas valorisant, dans une analyse que vous prétendez « objective ».
Ensuite :
Pourriez-vous me préciser en quoi mon appréciation finale est farfelue ? Je n’ai pas qualifié votre article de torchon de tabloïd sans en avoir expliqué les raisons.
La citation de Sacha Guitry que vous employez me semble abusive : je ne pense aucun mal de vous. Je m’attaque à la forme de votre article.
Enfin, je vous préciserai que rien ne vous permet de sous-entendre ou d’affirmer que je suis un « fan » de Mélenchon. Une nouvelle fois, vous péchez par préjugé ou postulat non étayé. C’est exactement ce que je vous reproche dans votre article.