Putain l’Auteur, vous avez tapé dans le mille ! Le niveau de la vérité révélée est à la hauteur des cris d’orfraies
Vous en prenez plein la gueule, mais avec courage.
JLM, même s’il est intelligent - justement - sympathique - et encore - roule pour le système, évident, mais pas accepté par les « votants », il est pour le système, c’est du capitalisme sous-licence, aménagé, des apparatchiks à côté des banquiers..
Il osera jamais JLM, jamais au grand jamais le seul discours politique adapté à l’époque qui vient : celui de la décroissance, celui de la résistance, celui du grand bond en avant, du changement.
JLM, c’est le communisme en mode Labiche, son prol est le frère suçons du bourge, ça devrait sauter eu yeux de tous, ben non..
En plus, il fait monter Mareine Lapine ce brebis, consciemment ?..
Mais chut.. Ne le dites pas.
Il a dit : « au final y restera qu’eux et nous »
Qui nous ?
Qui eux ?
..ça nous en promet des massacres à la con..
Qui forme l’opinion ? Mélanchon !
Les Maîtres, leurs valets, la presse pipi, le spectron, les banquiers, les FM :. les « élections »..
Ecoutez bien, un instant :
Voilà ci-dessous ce que l’establishment ne permet pas, ne permettra jamais. Voilà ce que vous ne verrez jamais au spectron :
Où l’on parle de Debord. Là un vrai anti-système.
Où l’on parle d’activisme, du vrai
« The task of an activist is not to navigate systems of oppressive power with as much personal integrity as possible ; it is to dismantle those systems. »
Allez, bon courage l’Auteur, et félicitations.
Balzac, Thoreau, Bernanos, Debord, Raoul Enveleau, Bookchin, Botul, Emerson... Mais pas Mélanchon.
« Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre. J’ ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous tuons pour subsister. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude d’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme.Toutes les choses se tiennent. Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’ elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes. Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme, l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang uni d’une famille.Toutes choses se tiennent. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil.Tout ce qu’il fait à la terre, il le fait à lui-même. »