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Commentaire de ecophonie

sur Voyage au bout de la nuit : un roman à lire ou à relire...


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ecophonie ecophonie 7 février 2012 15:34

« ...c’était bien sûrement le commandant Pinçon, cette gueule de torture. »

Sa prise de conscience en début de livre de lui au front entouré de millions d’hommes « Pire que des bêtes, ils n’imaginaient pas leur trépas », à cheval, à moto, en voiture, sur terre, sous terre etc qu’est ce que j’ai pu me marrer et halluciner sur son style.
p 12 à 16 dans mon édition je crois(couverture en noir et blanc), elles sont terribles.

Bon livres avec des phrases qui restent dans la tête, c’est le seul livre qui m’ait fait ça, d’ailleurs.
« La diarrhé cognitive libératoire »
« les hommes abandonnent plus facilement la vie que l’amour »


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