Parmi les contradictions du caniche de l’officine étrangère et accessoirement gérant des affaires courantes de l’Élysée, j’en ai retenu deux :
- il s’est offusqué d’une soi-disant maltraitance subie par l’hôte honoré lors de ce dîner, shalit, durant sa captivité. Alors qu’en réalité, de l’aveu même de ce soldat israélien, il semble qu’il a été bien traité par le Hamas :
En revanche, pas un mot sur les milliers de détenus palestiniens qui croupissent dans les geôles de l’entité sioniste.
Selon le rapport annuel d’Amnesty
International pour 2011 sur Israël
et les Territoires palestiniens occupés :
« Les Palestiniens dans les
(territoires occupés) soumis au système judiciaire militaire d’Israël
continuent d’être confrontés à un large éventail de violations de leur droit à
un procès équitable. Ils sont régulièrement interrogés sans un avocat et, bien qu’ils
soient des civils, ils sont traduits devant des tribunaux militaires, et non
des tribunaux ordinaires. »- Il fustige la double allégeance mais lui même donne des gages de fidélité à une officine à la solde d’une entité étrangère. Il reçoit en grandes pompes le soldat « franco-israélien » et participe à une soirée communautaire où l’on célèbre ce soldat. Une question s’impose : depuis quand un citoyen français a le droit de s’engager dans une armée étrangère ? Si le code civil permet l’acquisition de la nationalité française à raison de filiation, ce qui est le cas du soldat honoré dans le dîner du crif, il est aussi explicite sur la perte de la dite nationalité en cas d’allégeance de fait à un état étranger. En effet, l’article 25 du code civil stipule que l’individu peut perdre la nationalité française « s’il s’est livré au profit d’un Etat étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France. » Rappelons que ce Gilad fait partie de la soldatesque de sion qui a récemment attaqué le consulat de France à Gaza :
Dans une République irréprochable, ce soldat israélien serait déchu de sa nationalité française.