Enfin une excellente analyse du problème socio-économique.
Mais puisque vous le posez si bien, la solution devrait immédiatement vous venir à l’esprit :
Au lieu de dépenser des fortunes en propagande anti-tabac aux seules fins de dresser les citoyens les uns contre les autres et d’inoculer le cancer aux fumeurs passifs, pourquoi le législateur n’inciterait-il pas par une prime ou une réduction d’impôts les tenanciers à tenter l’expérience du bar non fumeur. Cette prime permettrait de faire de la publicité et puisque vous dites que le public est très demandeur de bistrots non fumeurs, la rentabilité serait vite assurée. Au besoin, le Ministère de la santé pourrait aussi faire de la pub pour ces restos et bistrots non fumeurs et ça ne choquerait personne.
N’est-ce pas ce que devrait faire un élu censé représenter l’avis de tous les citoyens ?
Voyez-vous, la protection des non-fumeurs n’est pas le but mais seulement le prétexte de cette interdiction et je vous assure qu’en haut (très haut) lieu, on rigole bien de ces non-fumeurs qui croient mordicus qu’on veut les protéger.
Le but est d’asseoir un pouvoir fort, en limitant, sous de mauvais prétextes, les libertés individuelles et le droit à la propriété privée et ce, en vue de le rendre compatible avec la gestion d’une Europe qui n’est pas loin de compter le double d’habitants par rapport aux Etats-Unis.
De même la propagande anti-tabac ne vise qu’à dresser les gens contre les autres et à multiplier la maladie pour se justifier elle-même car, ce faisant, l’Etat puise dans une catégorie de la population d’ardents défenseurs de la dictature qui se prépare.
L’Allemagne nazie ne s’est pas construite autrement : d’abord accuser le Juif de tous les maux, ensuite l’appauvrir, l’exclure des lieux du travail, le présenter comme infréquentable et pour finir l’éradiquer. Et sur ce bâtir une discipline librement consentie par la population non visée mais dont la collaboration s’avérait nécessaire.
Pureté sanitaire, pureté ethnique, même combat.
Les Allemands aussi n’y avaient vu que du feu.