Cette histoire de rendement n’a aucun rapport avec le taux d’utilisation, autrement dit la disponibilité, des centrales nucléaires, qui pourrait baisser avec le vieillissement. Le rendement énergétique d’une quantité donnée d’uranium ne changera pas pour autant.
Pour un taux d’ utilisation de – 20% ,les coûts financiers ne baissent pas,au contraire, ils explosent.
Conclusion le KWH devient inabordable.
on va payer très cher notre politique énergétique si l’ on ne change pas de modèle.
Quant au rendement du nucléaire, oui il est conventionnellement de 33%, ce qui explique la différence importante en France entre l’énergie primaire et l’énergie électrique finale. 1 TEP d’électricité nucléaire consomme 3 TEP d’énergie primaire. C’est parfaitement connu et cela figure noir sur blanc dans les statistiques de l’INSEE. Ce serait exactement la même chose si on avait un parc 100% charbon, puisque les centrales au charbon ont un rendement équivalent
Si pour notre ministre Besson , D Papin serait un joueur de foot : pour nous il évoque la machine à vapeur et sa thermodynamique.
Ce procédé est archaïque et un gaspillage indécent.
La gabegie énergétique de l’ utilisation de l’ Uranium pour produire de l’ électricité
Les centrales de cogénération (biogaz,biomasse...) ont un rendement de plus de 90%, pour un coût financier gérable sans produire des déchets insolubles et un risque humain criminel.
Mais rien à voir avec l’effet Joule. L’effet Joule est une réalité physique, et non comme vous avez l’air de le dire, une invention du lobby nucléaire pour masquer les inconvénients de l’énergie nucléaire.
Vous avez écrit aussi : La perte sur la compensation est intégrée à l’équation
alors pourquoi importer si on peut compenser en produisant plus.