@Tikhomir
Il me semble que c’est la première fois que je vous « moinse »
Avez-vous prêté attention à l’article ?
Les propos du juge notamment :
« L’islam n’est pas seulement une religion, c’est leur culture, leur culture. »
Si un tel raisonnement était pratiqué partout, plus aucune critique de l’Islam ne serait possible. Je reconnais être de parti pris puisque je ne dissimule pas ma piètre opinion du faux prophète et possible imposteur (j’ai mis de l’eau dans mon vin et depuis quelques années suis prêt à admettre qu’il ait été de bonne foi quant à sa qualité de « prophète ») Mohâmad ben Abdullah ben Aziz Al-Hakim Al-Quoïrachi plus connu sous le nom de Mahomet. En contrepartie j’admets les propos peu amènes des musulmans sur les chrétiens et le christianisme : il est indispensable pour qu’une controverse ait lieu que chacun expose sincèrement et librement ses opinions car nous n’avons pas d’autre moyen pour connaître et répandre des informations vraies et corriger les erreurs.
Ce qu vous proposez consiste au nom de la « tolérance » (j’ai haï à une époque ce mot tant il est de nos jours hypocrisie ou auto-aveuglement sur soi-même) à interdire toute critique quelle qu’en soit la forme (je précise que je n’ai pas trouvé le déguisement en zombie hilarant).
Quant à se vanter d’être intégriste... Les défenseurs du catholicisme « intégral » ne défendent pas l’intégralité du dogme comme vous semblez le croire (peu le connaissent) mais l’intégralité du modèle de société que nous appelons l’Ancien Régime (du moins à l’origine). Avec le temps ils se sont éloignés de cette définition stricte tout en continuant à fantasmer sur leur société qui ne change pas. Ils confondent la Sainte Vérité avec les formes employées pour diffuser celle-ci plaçant les secondes à égalité avec la première, ce que je considère comme une forme d’idolâtrie et surtout un oubli de cette parole de Notre Seigneur Jésus-Christ :
"Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles
outres ; autrement, le vin fait rompre les outres, et le vin et les
outres sont perdus ; mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres
neuves." (St Marc, II, 22)