Devriez lâcher du mou l’ançar, le marché à l’halle c’est beaucoup de sous, ça vous aurez du mal à le casher... alors même si ça vous barbe de deux jours, ce n’est pas ça qui risque de vous raser gratis.
Et puis Ha la la, pauvre de vous le hallali ce n’est même pas encore ça, parce qu’à dos de mulet si j’étais vous, je ne m’inquiéterais pas de savoir si les étourdis font des gorges chaudes ou si les gorges chaudes stressent la cervelle (aux herbes de Provence)
et pourquoi les légumes d’Al qaida ils ne mangeraient pas moins de viande à la base et pourquoi la culotte et pourquoi la poitrine…
en revanche, je me soucierais plutôt de savoir ce qu’on me cache d’autre, façon viande de chat vapanon, de chien de fusil, de chouwal de trait d’union, voire de bardot brigitte et même de Camelus Dromedarius Encoreeût-ilfalluquejelesus importés sur des tapis persans mais néanmoins arabes made in Taïwan et qui seraient vendus, au vu et au su de deux œils aussi bovins que glauques et peu regardants, servis par des abattages sauvageons de la clandestinée à ça... comme étant de l’honnête cochon pur porc.
Si môssieu, foie d’hépatite, croissant de bois croix de fer si je david, l’étoile est d’enfer, .
Couic zzzzz couac...
Midames zémé cieux nous interrompons ce programme pour vous faire part d’un message sublimianal de la plus haute importante : Le Sarcome de nos jours se guérit très bien, aucun cas post-op de peste n’a été signalé, je répète le sarcome... sans le sarcome, sans la peste et sans le choléra, c’est tout-à-fait Thierry possible, si si
Reprise de nos programmes dans quelques instants veuillez nous excusez pour gna gna gna couac zzz et autre couic
En plus de chez supplément gratuit, un garçon boucher ne sera jamais une fille, hein que c’est suspect ça ? Et pis une fille (ou le pis d’une fille chéplus j’étais plutôt maths que sciences-nat), ça peut faire la fine bouche, ça peut vous charcuter finement, ça peut même vous en boucher un coin, mais ça ne sera jamais l’auteur d’une boucherie (à part bien sûr Madame tâte chair), non les boucheries quand il y en, c’est forcément masculin, toute la filière n’ayant au final qu’un seul et unique patron, le terrible, le très craint ... Séraphin du monde…