Commentaire de Bruno de Larivière
sur Les cocus de l'école
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Pour reprendre une métaphore géographique, le collège est une « zone-frontière » ! Toutes les routes s’y croisent et s’entremêlent. La sélection est féroce, mais dissimulée : comme dans une pièce progressivement privée d’oxygène : les perdants s’étouffent quand il est trop tard. Les élèves issus de familles « rurales » bridés dans leurs choix sont un exemple, mais il y en d’autres.
Il faut bien sûr une sélection, mais sur la base des talents et du travail personnel. Ce n’est plus le cas d’un collège (& lycée) qui reproduit les fractures sociales et géographiques...
Derniers commentaires
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27/02 21:25 - gordon71
votre problématique me semble tout à fait pertinente et féconde contrairement à vous je ne (...)
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27/02 19:34 - Bruno de Larivière
Cette statistique est bien sûr indisponible ! Si vous voulez creuser le sujet, en revanche, (...)
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27/02 16:08 - gordon71
là dessus d’accord la fonction objective du collège est le tri social,, par le jeu (...)
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27/02 16:00 - crazycaze
L’inégalité devant l’accès aux différentes filières se pose au lycée. Car si (...)
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27/02 15:36 - gordon71
l’auteur à combien évaluez vous les cocus (ruraux) de l’école ? et les cocus( (...)
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27/02 14:27 - jef88
Tout oblige à faire des places pour les minorités visibles ! Rien n’oblige à faire des (...)
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