Vous avez un discours de personne qui semble ne connaitre pas bien l’entreprise alors je vais tacher de vous expliquer.
Quand Picasso fait un Tableau qui se vend quelques millions, il le peint incontestablement avec des couleurs fabriqué avec la sueur d’un ouvrier. Moi aussi. Et pourtant je n’essaierai même pas de vendre ma peinture.
Quand une boite fait des bénefs, elle le fait certainement avec cette même sueur. Le probleme c’est que celle ci n’est pas fondamentalement différente de celle des employés des boites qui font faillite. D’autre part ; il a existé des cas d’autogestion collective et dans l’ensemble, alors me^me que ce modèle devrait permettre des avantages compétitifs considérables meilleure motivation au travail, moins de sur profit et de sur salaires, donc des prix plus compétitifs) on ne voit pas que ces entreprises aient connu des développement spectaculaires y compris dans les nombreux pays européens ou elles sont encouragées et aidées genre économie sociale, associative coopérative etc...)
Dans le cas de Picasso, comme dans celui du grand patron qui fait connaitre une grande réussite a son entreprise, il y a des éléments de relations publique, de chance, d’opportunité, de charisme. Il y a certainement des tas de types qui peignaient aussi bien que Picasso et sont restés injustement méconnus. Des tas d’entrepreneurs qui n’ont pas eu de pot. Mais l’un dans l’autre, il y quand même bien une équation personelle qui fait qu’a sueur de travailleur égale, il y des cas ou des milliers de travilleurs se retrouvent au chômage et d’autre ou ils ont un emploi avec un niveau de vie décent.
Par les temps qui court, la seconde possibilité n’est pas donnée à tous le monde.
Le type qui a crée Carrefour a aussi crée de l’ordre de 400 000 emploi. 10 comme lui, et plus de chômage. Mais il n’y en a pas eu 10. Combien cela vaut ce qu’il a fait ? Et qui en juge ? Et qu’est ce qui le motive ? Et quelle vie il a ?
Plein de questions. Mais il y a un truc que l’on sait de façon formelle, démontrée, éprouvée, les pays ou il y a eu beaucoup de gens de ce genre et ou on leur a pas mis trop de bâtons dans les roues sont aussi ceux ou les pauvres sont les moins pauvres ; Il n’y a pas d’exceptions.
Ceux ou on a abreuvé les sillons avec leur sang, d’une manière ou d’une autrese sont enfoncé dans la paupérisation. Aprés c’est sur que l’on peutpréférer être misérable mais nepas avoir à souffrir l’existence de riches, que de vivre nrormalement aux côté de gens qui vivent mieux.
Ce n’est pas le cas de la majorité des gens et c’est pour cela que les gauches sont rarement au pouvoir.