1) J’ai déjà répondu et c’est très clair, ça n’a rien à voir avec ce que vous dites. Vous racontez n’importe quoi alors que je vous l’ai expliqué deux ou trois fois et pas que moi en plus.

2) Je veux interdire une secte, pas un parti. Vous racontez n’importe quoi et là aussi j’ai déjà expliqué !

3) Je suis contre une dictature théocratique lamaïste ce qui n’a aucun rapport avec les trucs que vous me sortez de je ne sais où.

4) Je n’ai rien dit de la sorte. Vous allez inventer des trucs encore longtemps ?

Cuba, et pas son régime, mérite d’être défendue pour une seule et unique raison : un pays insulaire soumis à une guerre économique de la part de la plus grande puissance mondiale mérite des applaudissements pour son courage. En ce qui concerne son régime ce que dit Mélenchon c’est que c’est toujours mieux que ce qu’on trouve dans la péninsule arabique... par conséquent quand les pères la vertu de l’occident accepteront de condamner tout le monde de manière objective, Mélenchon acceptera de condamner Cuba. Il y a une différence entre ne pas condamner quelques chose et le soutenir ouvertement. Soit il les condamne tous, soit il refusera de n’en condamner qu’un en particulier sous l’injonction d’un journaliste.

Et je trouve que cette position et cette attitude est tout à fait à son honneur, de ne pas se plier devant les réclamations des amis du Qatar. De toute façon l’embargo et les conditions soumises à Cuba les oblige presque à imposer un régime militaire pour simplement ne serait-ce que pouvoir espérer résister... donc on est pas dans le même cas que les monarchies précitées. Résister à l’oppression d’ennemis avérés désirant la prise de contrôle du pays et ayant déjà tenté coups d’Etat et invasion, c’est une attitude noble. Le jour où ce pays ne sera plus assiégé, on pourra condamner son régime s’il ne change toujours pas une fois en situation de paix. Mais en attendant que peux t-on dire, soyons honnête ? La dernière fois qu’on a été dans le même cas, c’était le régime de Vichy dont on ne s’est libéré qu’avec une aide extérieure... eux ils se sont libérés tout seuls et résistent encore car leur oppresseur est toujours là. On a pas vraiment de leçons à donner. On ne peut juger un régime qu’en temps de paix.

5 ) Mélenchon n’a pas soutenu de guerre. Vous mentez une fois de plus et là encore c’est pas faute de l’avoir dit et redit. Un zone d’exclusion aérienne, c’est pas une guerre même si vous répétez votre mensonge mille fois, ça changera pas la réalité.

6) Si j’ai répondu sur la Syrie : il rejette toute intervention de l’OTAN. Quand à l’Iran il est fondamentalement contre tout régime théocratique mais pas au point d’approuver les attaques préventives. Bref vous racontez une fois de plus des choses absolument fausses.

Remarque : Vous inventez des choses imaginaires, refusez d’écouter les preuves de leurs inexactitude et vous basez dessus pour tenir un « raisonnement » qui n’est donc en réalité qu’un pur délire... vous voyez que quand je dis secte c’est sur une base assez solide, et non pas une excuse pour interdire le FN...

En résumé il n’y a pas une seule de vos affirmations qui soit vraie... pas UNE SEULE ! Sauf sur Cuba mais c’est plutôt une qualité qu’un défaut. Voila donc exactement les raisons qui me font interpréter l’extrème-droite comme une secte et non comme un mouvement politique raisonné. Cette conversation en est une preuve de plus : je réponds à ce que vous dites et vous, vous ne répondez à rien, vous répétez inlassablement les mêmes choses...

On ne construit rien en niant la réalité. Les nazis et leur mystique de « race supérieure aryenne » et autres débilités ne nous ont elles pas suffit ? Faut-il à nouveau permettre l’émergence d’un mouvement sectaire basé sur une mystique identitaire proche et surtout créant à nouveau une atmosphère de guerre permanente puisque basée sur des délires paranoïaques complètement fous, créant des ennemis imaginaires et des complots fictifs ? On a déjà vu tout ça, et cela n’a rien à voir avec de la politique, c’est de la folie pure et simple.

En tout cas merci Nobody d’avoir démontré l’inverse de ce que vous dites... même si vous ne vous en rendrez probablement jamais compte.