2 faits méritent d’être ici rappelés sans cesse, à tout le monde, partout où vous vous trouvez :

1/ C’est grace aux Jersey Girls qu’aujourd’hui, depuis le 22 juillet 2004, TOUS nos journalistes français peuvent lire le rapport officiel de la commission du 11-Septembre. Or pas un de ces journalistes n’a interviewé l’une de ces femmes au courage citoyen exemplaire.

Le jour de la remise officielle du rapport, nos veuves de Jersey portaient des pancartes avec le mot « LIES ». Sur ce fait là, aucun journaliste français non plus n’a posé de questions.

2/ TOUTE la contestation de la version officielle part de la presse officielle, et non alternative. Les journalistes français conspuent le Mouvement International pour la Vérité, mais en le faisant, ils ne font que conspuer leur propre travail, car c’est à partir du travail de la presse officielle anglo-saxonne et un tout petit peu française (Guillaume Dasquié / Le Monde / avril 2007 par exemple) que ces familles de victimes en sont venues à se poser 171 questions rassemblées ici et toujours sans réponses 10 ans après.

La seule timeline officielle du 11/9 qui compte vraiment est celle de Paul Thomspson, disponible ici, (et en version papier sur les sites marchands) à laquelle JAMAIS aucun journaliste français ne fait réference, pourquoi ? Cet informaticien de San José a rassemblé près de 20 000 articles de la presse officielle, thématisés, regroupés en 6000 entrées dans ce dossier tentaculaire. Il serait temps de repartir de ce thesaurus, non ?

Le « Mouvement international pour la Vérité » est donc un mouvement citoyen auquel les journalistes du monde entier doivent à peu près tout de leur travail ultérieur, lorsqu’eux mêmes, après une période de questionnements réels qui se situe en gros entre les événements du 11-Septembre et l’invasion de l’Afghanistan début octobre 2001, se rangèrent derrière l’administration Bush-Cheney sans recul critique. C’est là que commencèrent à apparaitre des absurdités et des invraisemblances que le Mouvement ne cessera dès lors de dénoncer.