Bonsoir,
Personne, je le crois vraiment, ne veut que les femmes aient moins de droits que les hommes,
Personne ne peut empêcher que les femmes soient physiologiquement prévues pour porter l’embryon et le fœtus et ensuite allaiter (ce qui frène les embauches, évidemment).
De moins en moins de personnes pensent que l’activité professionnelle est préférable à la vie de famille,
Ne penser égalité qu’au profit des femmes fausse le débat. Est-il juste de ne pas prendre les frustrations des hommes en compte (qui lutte pour l’égalité dans la vie privée, pour que les hommes qui le désirent puissent rester au foyer, avoir le même « chez soi » que leur conjointe ?) Est il juste d’« oublier » l’incidence sur les enfants ?
L’humanité est composée de femmes, d’hommes, d’enfants et de vieillards il me semble.
Pour atteindre l’égalité, l’auteur cite la scandinavie en exemple. Il cite seulement deux choses :
1 - Le développement des structures d’accueil de l’enance,
2 - les enfants n’ont pas d’obligation d’assistance envers les parents âgés.
Quel monde préconise-t-il ? Celui d’enfants sans parents (la parentalité ne se délègue pas -du moins pas sans dommages-). Le délitement (déjà avancé) du lien familial ?
Ne barrons pas aux femmes qui le désirent l’accès au travail et aux responsabilités, C’est un droit absolu.
Travaillons pour que les hommes aient accès (hors grossesse et allaitement) à la vie privée, à égalité avec les femmes.
Pour TOUT ce que nous souhaitons, pensons aux enfants (D’ABORD NE PAS LEUR NUIRE) parce que ce serait inhumain, mais aussi parce qu’en les malmenant/maltraitant nous atteingnons la société de demain.
Sans le vouloir délibérément c’est certain, l’auteur nous pousse vers une aggravation de la mauvaise santé psychique et physique déjà bien acquise chez les générations actuelles.