Bah... Mon brave, le doute m’assaille bien parfois, sans pour autant que je cède aux conspirationnistes de bas étage, tendant à faire passer les victimes pour des coupables.
Pour autant, quand il m’arrive de lire de telles énormités, le doute m’assaille, effectivement, sur la santé mentale de certains essayant de faire prendre des vessies pour des lanternes

 Et particulièrement lorsque l’on agite devant vos paupières mi-closes, qui vous donne ce doux regard engourdi d’un marécage de Sologne aux brumes du petit matin,

La comparaison est imagée, mais du ressort total de votre propre imaginaire ; pour ce qui est de mon regard, vous n’en êtes qu’aux supputations fantasmées..

 l’étoffe brune d’un FN fantasmé, qu’une bande de nervis avinés a négligemment abandonnée sur l’autel de la suspicion à bon compte.

sauf que l’étoffe brune du FN n’a rien, elle, de « fantasmé » : elle est inscrite dans les faits, et dans l’histoire ; vous devriez vous renseigner.
Quant aux « nervis avinés », devrais-je comprendre que ce sont des membres mêmes du FN qui laissent à envisager ce fantasme ? Une sorte de csc ? Tt,ttt, ; allons : il faut faire du ménage dans vos rangs...

Vous vous écoutez écrire, mon vieux ; « branlant de l’invective » (comment branler de l’invective ? Vous avezz le mode d’emploi ?  )« l’écume aux lèvres, la haine au clair », « rendre gorge à l’infâme » ; c’est bon pour la littérature de l’extrémisme haineux. C’est du Brasillach ? Du Céline ?

Ah, vous savez, il y a belle lurette que personne ne me berce plus ; quant au « système », s’il ne m’empêche pas de dormir, il me fait parfois coucher tard, surtout quand il produit ce genre d’ersatz qui fait mine de le combattre, alors même qu’il l’appuie...

 cerbère de votre extinction,du silence de votre suicide. Vous flattant la croupe, pour vous détourner de la pénétration subie, parce que vous l’aurez refusée à la drosophile.

Décidément, vous avez l’air de vous y connaître en« pénétration subie » ; vous parlez d’expérience ?
Quant à « flatter la croupe », ma foi, chacun le fait comme il s’y entend ; la meilleure façon étant, évidemment, celle qui consiste à vous faire croire supérieur à d’autres, en désignant des boucs émissaires comme responsables de sa propre vacuité...

Pour la drosophile, vous qui, manifestement, ne lui avez pas refusé ce plaisir, l’expérience semble vous avoir suffisamment contenté, pour que vous la préconisiez à d’autres..

Ma foi, à chacun ses plaisirs ; du moment que ça se passe entre adultes consentants...