Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
Le « bien commun », « l’intérêt général », c’est le respect des droits des individus, ni plus, ni moins. Opposer le droit de propriété au « bien commun » est donc parfaitement ridicule.
Les limites de la liberté sont très claires : la liberté s’arrête où commence celle d’autrui.
« les riches ne créent pas de richesse, mais de la pauvreté » >> N’importe quoi, vous n’avez rien compris à la notion de valeur
Les footballeurs ou les « artistes » vivent comme les financiers, affairistes et politiciens sur le dos du reste de la population« >> Encore n’importe quoi, cf plus haut
»Ensuite la question qui devrait être posé pour juger de l’utilité ou de la valeur de l’activité d’une personne, est qu’est-ce contribue au bien-être et vivre collectif sans oublier de comptabiliser les nuisances annexes, pour juger si elle « socialement » utile ou « nuisible » ... et non pas combien elle rapporte d’argent au portefeuille d’une minorité." >> De quel droit voulez vous juger l’activité d’une personne ? Avoir une activité est une liberté, et ça ne vous regarde pas. Tant qu’une activité n’enfreint aucune liberté d’autrui, chacun fait ce qu’il veut, même si ça ne vous sert à rien personnellement.
Le reste est à l’avenant. Occupez vous de vos oignons, ce qui se passe chez les autres ne vous regarde pas.