@ Epicure
« »« » Où alors tu inclus aussi le CO2 libéré par le marchand de pizza au four chez qui est passé le chimiste en venant au labo avec sa clio.
C’est sûr en prenant en compte tout et n’importe quoi tu peut arriver au chiffre que tu veux, mais bon là on parle de science pas discutions de comptoir « »"
Ce que ce produit peut stocker provisoirement comme CO² est connu avec une grande précision et ce volume est très facile à calculer au sens où il n’y a pas 36 éléments à considérer. Il va de soi que son inventeur ne ratera pas de le calculer et d’en exhiber le chiffre
Ce que l’élaboration et la consommation de ce produit induit comme production de CO² est très difficile à calculer au sens où il y aurait des milliers d’arguments à considérer. Il va de soi que son inventeur n’a ni le temps ni l’envie ni intérêt à le calculer et encore moins à en montrer le chiffre.
Il n’y a donc aucune raison, en tant que tiers consommateur critique, de focaliser sur le volume positif facile à calculer et intéressant à montrer et de dénier alors tout ce qui n’est pas montré en termes de volume négatif que la production et la consommation induit.
Démontrez-moi qu’il n’est pas plus rigoureux de tenir également compte de la part de CO² libérée par les marchands de pizzas qui nourrissent les concocteurs du produit miracle.
Démontrez-moi qu’il n’est pas plus rigoureux de tenir également compte de la part de bilan carbone liée aux utilisations des claviers par cette équipe et ses sous-traitants ou fournisseurs.
Démontrez-moi qu’il n’est pas plus rigoureux de tenir également compte de la part de bilan carbone liée aux études scolaires de toutes les personnes qui bossent sur cette élaboration.
Ou, au choix, démontrez-moi que le bilan carbone résultant de l’élaboration et de la consommation de la saga Harry Potter est nul.