je pense pas que Bayrou ait voulu dire la même chose que ce que j’ai développé dans mon commentaire précédent

Bayrou dénonce un climat général de haine et d’intolérance qui se développe dans la société ,c’est assez flou car il ne précise pas qui ou qu’est-ce qui en particulier répand ce climat délétère ,mais dans sa pensée il vise surtout des gens de droite et surtout d’extrème droite ou même des gens en général qui seraient islamophobes et opposés à la politique d’immigration .Ce n’est pas le communautarisme qui concerne toutes les communautés sans exception qu’il dénonce mais certaines communauté qu’il désigne comme coupable de manière sous- entendu en particulier et bien sûr les communautés blanches identitaires de souche ,les gaulois chrétiens ou athées en excluant la part des responsabilité et de culpabilité des communautés immigrés africano-arabo-musulmanes qui seraient stigmatisés , discriminés et rejetés par les autres -----------------------------------bref ce sont les souchiens qui sont coupables tandis que les beurs les renois ou les muzz sont les victimes

Bayrou désigne comme cause la stigmatisation et le racisme envers les populations immigrées africano-arabo-musulmanes en particulier et non le communautarisme en général et ne dit rien sur le cléricalisme en général et le cléricalisme ou l’intégrisme musulman en particulier que l’islam contemporain ,coraniste omarien développe .

Bayrou ne voie pas ou ne veut pas voir que la cause première de la stigmatisation ,de l’intolérance provient du communautarisme et de l’intégrisme et que le rejet des communautés africano-arabo-musulmane en particulier provient des effets de communautarismes particulièrement prononcés et exhibés de celles-ci qui troublent jusqu’à menacer de détruire la culture française spécifique millénaire ,la culture gauloise ,laquelle ne fait que régir et se défendre tout naturellement et par patriotisme .Il prend donc les effets comme causes et les causes comme effets,car la stigmatisation et l’intolérance provient du communautarisme et de l’intégrisme et non l’inverse