Les épidémies suivent toujours une courbe de Gauss : elles apparaissent et disparaissent spontanément, d’autant mieux si on améliore les conditions hygiéno-diététiques, l’eau propre en particulier.
Les vaccins sont toujours apparus en fin de courbe, et ce sont attribués les mérites de cette statistique incontournable. A tel point que les seuls cas de paralysie infantile recensés ces derniers temps sont liés au virus vaccinal, et non au virus sauvage.
L’exemple de la rougeole est frappant : en 50, je crois, il y avait 800.000 rougeoles aux USA. En 58, quand le vaccin est apparu, il n’en restait que 3.000...
Joletaxi a toujours un avis sur tout, sans rien avoir étudié. Il partage ce privilège avec ma concierge, de pouvoir pérorer sur toutes choses sans rien chercher à apprendre.
Si le vaccin avait l’efficacité revendiquée, cette épidémie indienne de près de 1500 cas chez des enfants multivaccinés n’aurait pu avoir lieu.
il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.
Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité...
Par exemple, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.
- En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G..
Laisse tomber, jo : je connais mon sujet sur le bout des ongles et tu vas t’en prendre plein les dents. En plus, tu vas rire : j’ai vacciné pendant trente ans avant de comprendre...Le fait d’être ignorant ne donne pas de priorité dans le discours.