Bonjour M. Zen.
Mettons les choses au point :
1) Je ne suis pas suisse, mais italienne de langue maternelle française, ce qui fait que j’ai parfaitement saisi votre façon d’écrire : vous affirmez, laissant des liens que peu de lecteurs suivront. A l’arrivée, seules les affirmations sont retenues.
2) Vous attaquez sans doute possible la Suisse et non pas seulement par l’intermédiaire des agissement douteux de UBS. Par le titre d’abord (que je sache, le gruyère ne porte pas le label UBS. Puis par votre phrase : « C’est chez nos voisins helvètes que l’on trouve les meilleurs refuges, une Suisse au dessus de tout soupçon », ou encore une autre : « pays accueillant s’il en est. Que des avantages à vivre au bord du Lac ou à y déposer quelques euros... ».
3) Pour information, l’essentiel de l’argent déposé auprès de l’UBS n’a jamais vu les Alpes suisses, mais estinvesti dans des trusts ou autres fonds dans des pays bien plus accueillants que la Suisse, tel la Grande-Bretagne, parce que :
4) En Suisse, les véritables détenteurs des trusts ou autres fonds doivent être identifiés et communiqués à la Finma, les lois contre le blanchiment ayant été considérablement renforcées ces dernières années.
Bref, vous attaquez bel et bien la Suisse, sans prendre en compte l’ensemble des données de façon claire (si ce n’est à travers des liens que peu de gens ne suivent).
Cessez donc de rêver, si la Suisse ne disposait plus de son système bancaire, mis à genou par les politiques à la solde des autres places financières, eh bien... la France subirait la même évasion fiscale, l’argent ne faisant que changer de pays, mais de plus, ne verrait pas la moindre couleur de cette évasion et augmenterait également son nombre de chômeurs.
Attaquez donc l’UBS, elle le mérite largement. Mais de grâce, cessez ces attaques idiotes contre un pays qui n’est pas responsable des FRAUDEURS FRANCAIS.