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Commentaire de Soi Même

sur L'hypersymbolisme après la mort de l'art au 21ème siècle


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Soi Même 27 mars 2012 11:43

Il est vrais, que l’Art officielle, celui qui est prôné par l’élite si il n’est pas mort . il est noribond.

Il y a deux raisons principales à cela, l’art est devenue le tremplin de sa personnalisation excessive de sa personnalité et à conduit à se désacralisé.

Il a rompue ses derniers liens à la fins du IXX siècles. Et l’école symbolique est le dernier sursaut à renoué avec cette tradition spirituelle d’utilisé l’art comme médiateur de l’expression spirituelle.
Il est frappent de l’engoulent du public pour les mandalas de sable des Tibétains. Montre bien cette nostalgie du spirituelle par l’expression artistique. Exprime bien le paradoxe ce que recouvre la véritable fonction de l’œuvre d’art si combattue par ailleurs par les athéistes qui non seulement nie le spirituelle, le combat part tous les moyens pour le détruire.

L’autre fait, est qu’au moyen âge, une œuvre d’art était anonyme, il avait une humilité de l’Artiste de signé ses œuvres. c’est très récemment que leurs identifications est commue.

Ce fait, à ma connaissance est important pour comprendre la dérive de l’Art, qui à aboutie à la crise de l’art que l’on connaît.
Il y a une phrase célèbre de Picasso, qui disait : Je veux être célèbre par le scandale. Cette phrase résume tous la problénatique de notre art contemporain.

Elle est à l’invese de cette attitude d’Odilon Redon qui le relate dans son journal à Soi Même. cette anecdote ; Un jeune admirateur Anglais vient le trouve pour lui témoigné de son admiration de ses œuvres et de lui demandé d’expliqué sa signification. Odilon Redon lui répondue par un grand sourire qui la décontenancé. Il est repartie en Angleterre sans sa réponse qui attendait.

Dans son journal il définie c qu’est une œuvre d’art :

Une œuvre conçue en vue d’un enseignement sera dans sa facture conduite par un mauvais chemins. Un tableau n’enseigne rien ; il attire, il surprend, il exalte, il mène insensiblement et par amour au besoin de vivre avec le beau ; il lève et redresse l’esprit, voilà tout.

 


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