En réponse à Luc-Laurent Salvador :
"Dites-moi si je me trompe, mais maintenir la masse monétaire
constante dans une économie en croissance, ce serait comme maintenir la
quantité de sang constante chez un enfant en pleine croissance : la
garantie d’une mort sûre et certaine.
Si j’ai bien tout compris la masse monétaire doit croître avec
l’accroissement des richesses sinon la circulation ne se fait plus et
cette croissance de la masse monétaire est une manne qui doit être le
privilège exclusif du peuple, pas celui des banques.«
Une fois adopté la répartition de la création monétaire sur tous les citoyens en parts égales, ce que j’appelle une monnaie »équilibrée« , alors la taille de la masse monétaire n’a plus d’importance fondamentale, car la part de »pouvoir monétaire« de chaque citoyen reste identique : c’est un mécanisme de »dilution« .
Du coup augmenter la masse monétaire n’est plus un inconvénient, et donner une croissance régulière et prévisible à la masse monétaire permet d’apporter de l’huile dans les rouages, car la valeur de l’unité de monnaie »fond« régulièrement : celui qui stocke de la monnaie perd de la valeur absolue, la thésaurisation est découragée, et l’action économique concrète est encouragée.
La seule manière de profiter de sa richesse, c’est d’investir dans des projets, les siens ou ceux des autres, et d’en partager dans le futur les bénéfices : seule la solidarité paye 
Et pour ceux qui sont plus dans le don, ils partagent aussi un »dividende monétaire" provenant de cette création monétaire régulière, qui leur permet de vivre matériellement tout en faisant progresser la collectivité par des activités humaines non marchandes.
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