non vous êtes anti verts, avant tout, de façon MALADIVE.
Les Verts infiltrent tout. Dans leurs diatribes, le pollueur est tapi dans tous les recoins de la société, il faut le débusquer, le fustiger et le faire payer. Ils se moquent de l’architecture, du patrimoine exceptionnel de Paris, de son cachet urbain. Ce qu’ils veulent ce sont des pistes cyclables partout, des voitures non polluantes avant de supprimer pour de bon le véhicule individuel et faire manger bio le citoyen. Et s’il n’y avait le précédent Panafieu qui n’est pas de leur bord, ils seraient prêts à soutenir la visite du Louvre et de Versailles en roller. Car s’il existe quelques véritables scientifiques fourvoyés dans cette idéologie, la plupart des marottes des Verts tiennent le plus souvent de l’incantation et des préceptes de Rika Zaraï, avec ses médications aux herbes et ses bains de siège, que du raisonnement critique. Leur foucade du principe de précaution, ils veulent l’imposer comme le onzième commandement ou le sixième pilier de l’Islam.
Et puis, les messes écologistes vont proliférer comme des champignons avec des rassemblements citoyens pour le climat, des prières laïques contre le réchauffement, des foires du bio, véritable arnaque gustative labélisée. Leur catéchisme radical est diffusé sur les médias par de nouveaux Monseigneur Mayol de Lupé, qui galvanisent et bénissent leurs nouvelles Légions Charlemagne avant de les envoyer au front Les enfants des écoles ne chanteront pas la Marseillaise mais une version réactualisée de « Maréchal, nous voilà » (ou plutôt, écolos, nous voilà pour sauver l’avenir de la France) à la gloire de la nature comme au temps des rassemblements totalitaires. Devant certaines prises de position, on ne peut que penser au « retour à la terre » pétainiste qui vantait la France rurale, mais qui manquait cruellement alors d’engrais et de pesticides. Un enfant à l’école qui ne rendrait pas un devoir écologiquement correct où les pollueurs sont le méchants et qui se conclut par le fait qu’il faut sauver la planète verrait ses parents convoqués derechef par la directrice de l’établissement comme s’il avait dit des obscénités à la récréation ou exhibé son zizi en classe.
c’est un texte de malade.
d’un obsédé.
notoire.