Ah bon ? Tortureur ?
J’arrive à plus de soixante piges en ayant quand-même lu quelques livres sans avoir jamais rencontré ce barbarisme... Il me semble qu’on dit tortionnaire, non ?
Enfin, moi c’est ce que j’ai appris à l’école.
Je regarde mon Larousse 1993, connais pas de tortureur. Quand j’écris le mot la correction automatique d’Open Office se met à clignoter et me propose : torturer, torture, tortueux..
Celle de Word aussi.
En écrivant le commentaire sur ce fil de même...
Je passe au Littré : bernique. Pas plus de tortureur que de bourelle entendu comme féminin de bourreau.
Bourreau de la langue, bien entendu.
Je vais sur Lexilogos, j’essaye tous les dictionnaires possibles...
Rien, refus, que dalle, nada...
D’où sort ce site que vous semblez considérer comme de référence ?
Quelle légitimité ?
Mais bon... Pourquoi pas... Après la méprisance et la bravitude, pourquoi-pas le tortureur ?
« J’suis le tortureur des Lilas... »
Une nouvelle langue se déploie depuis une vingtaine d’années : on n’engendre plus on génère, on n’a plus la charge, on est en charge... Comme une batterie de camion ! Etc... Etc...
A part ça je soutiens Mélenchon de toutes mes vieilles forces et j’espère qu’il va faire un carton.
Mais ce n’est pas une raison pour que je ré-apprenne le français.
Cordialement