« ne s’improvise pas journaliste qui veut.... ?
Hum....les exemples des journalistes patentés sont édifiants de non-professionalisme, de copinage, d’exploiter les nouvelles à son profit, quitte à les créer soi-même.

( Avez -vous vu les chiens de garde du pouvoir, cet excellent film ! »

On se rappellera quelques affaires retentissantes que certains voudraient bien nous faire oublier : Poivre d’Arvor a été assez remarquable : Le faux vraie interview de fidel castro, puis cette affaire de la bibliographie d’Hemingway pompée sur un livre sorti aux states, avec sauvetage en affirmant que « les notes » avaient été malencontreusement oubliées.

Les bons journalistes, je m’en fait une idée à la lecture de leurs articles, pas sur leur notoriété ni en ôtant ma casquette à la lecture de leur carte de presse.

Cette époque permet à beaucoup de se construire une culture, et d’être iconoclaste. Il est sûr que ça ne plait pas toujours aux notables, qu’ils opèrent dans le domaine de la médecine, de l’éducation, du journalisme ou tutti quanti.
Mais voilà que les gens croisent les informations, font leurs analyses, parfois très pertinentes, en tout cas apportant un nouveau regard, par la multiplicité de leurs origines et de leurs expériences, ils renouvellent le coté convenu et insipide de ces éternels « spécialistes » aux conclusions formatés, et parfois bien en osmose avec les diktats du pouvoir

Agoravox offre l’avantage de permettre à beaucoup d’écrire, et de se corriger, au fur et à mesure des articles et des critiques émises. C’est une bonne école de journaliste, un peu à l’ancienne, quand on lançait dans le bain des gens qui n’avaient souvent que leur enthousiasme.
 Que dis-je, qui avaient justement de l’enthousiasme.
C’est vrai qu’on trouve tout et n’importe quoi sur agoravox, mais ce qui en fait le richesse, et offrirait surement une base intéressante à un travail de recherche, si ce n’est déjà fait.
Dans ce monde formaté, prévisible, la multiplicité des expériences et des avis offre une photo assez réjouissante de la société.