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Commentaire de morice

sur Et voici le Djihad Show !


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morice morice 6 avril 2012 18:21

news du jour



Le groupe de soutien au président-candidat mené par Jean-René Fourtou préfère rester discret. Les participants ont donc choisi de varier les lieux de réunion. Le groupe de réflexion qu’a constitué Jean-René Fourtou pour soutenir Nicolas Sarkozy dans sa campagne se réunit le jeudi soir, soit au domicile du grand patron, soit - comme ce fut le cas le 29 mars - dans celui de Michel Calzaroni. Quand la presse a commencé, l’été dernier, à se faire l’écho de l’existence de ce think tank, qui compte aussi des journalistes, des conseillers de l’Elysée et des cadres de l’UMP, ses membres ont préféré se retrouver chez le consultant en communication, par crainte de paparazzis devant le domicile du président du conseil de surveillance de Vivendi.

des journalistes ????

http://www.journaldunet.com/economie/communication/gourous-de-la-com/

Calzaroni et Meaux, les âmes damées du Sarkozysme.

http://blogs.mediapart.fr/blog/david-medioni/060511/le-probleme-des-communicants-c-est-quand-ils-sortent-de-leur-role

Il y a -t-il une com’ de droite et une com’ de gauche ?
M.M : La grosse différence c’est que la droite assume totalement le fait de faire de la communication. Et ce, encore plus depuis 2007 avec l’élection de Nicolas Sarkozy. Nous révèlons dans le livre que plusieurs leaders de droite (Bertrand, Yade etc…) vont même jusqu’à demander conseil à Nicolas Sarkozy pour mieux communiquer. A gauche, on n’assume pas. Il n’y avait pas de directrice de la communication au PS sous François Hollande. En fait, chaque leader a ses « gourous » et chacun élabore son propre message. Cela contribue d’ailleurs à la confusion des prises de paroles socialistes. Il faudrait trouver un juste milieu.

Dernier point : comment les journalistes peuvent-ils résister à la communication ?
M.M  : C’est compliqué. Il faut recouper toujours plus. Se méfier des « fumigènes » qui sont des techniques qui consistent à lancer des idées pour cibler une catégorie de l’électorat par exemple, sans que cela soit suivi des faits. Se méfier aussi de la relation avec les communicants qui sont toujours prompts à distiller des infos -vraies et fausses – pour « vendre » leurs clients. Enfin, il faudrait sortir aussi des relectures d’interviews. Les anglo-saxons ne le font pas. Les journalistes devraient faire front pour tenter d’inverser le rapport de force.

en ce moment la COM c’est... l’insécurité..
pas un jour sans un flingue de montré quelque part...

la COM SARKO, celle de la PEUR.
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