@ JL1
Oui excusez-moi d’être monter à un tel niveau de compréhension politique que vous ne puissiez plus suivre. Je vais donc essayer de m’expliquer avec des mots simples pour ne pas trop vous embrouiller.
Le socialisme c’est la souveraineté du peuple. Oui ? Or le socialisme ne peut que s’exercer dans un cadre national entre des citoyens issus d’une même culture puisqu’au niveau mondial ce n’est pas l’humain et son bien-être la valeur absolue mais l’argent et son enrichissement. Oui ? Donc si je veux le socialisme (service publics pour tous, sécurité sociale, progressions salariale,défense de la retraite par répartition,etc...) je ne peux être aussi que nationaliste. Et oui je sais que ça me compare à Hitler mais c’est fait pour ça. L’histoire a été écrite pour que toute idée socialiste véritable, c’est-à-dire l’humanisme, soit interdite. On vous maintient dans un choix débile qui est entre le libéralisme mondialiste et le communisme internationaliste parce que tous les deux ont la même finalité : un gouvernement mondial. L’un de la finance l’autre des travailleurs. Qui de sensé peut encore y croire ? Personne alors c’est bien pour cela que ces deux idéologies se sont accaparées l’idéalisme humaniste d’un monde sans frontières pour vous faire accepter par la force ce nouvel ordre mondial.
Ce projet est donc contre la souveraineté des peuples lorsqu’on l’analyse simplement. La république veut de moins en moins de démocratie. Sarkozy ne veut plus de référendum et Papandréou s’est fait éjecter pour l’avoir proposé. Cela ne vous choque pas ? moi oui. Donc pour lutter contre cette dérive anti-démocratique ( pouvoir du peuple) il faut lutter contre la république (res publica, la chose publique déléguée à des intermédiaires) et revenir à la nation (souveraineté du peuple). Cela me semble clair et évident. Mais bien entendu je vais à l’encontre de la propagande, je le sais, et Marine Le Pen le sait aussi.
Marine Le Pen : « Mélenchon trahit le peuple »
Maintenant que vous m’avez compris, du moins je le pense, alors je suis prêt à répondre à un débat de fond.