Mais évidemment qu’il ne l’a pas tué d’un seul coup de poing.
Tout ça est cousu de fil rose.
Les médias belges font leur cinéma habituel dès qu’il y a un crime dont la narration réelle risquerait de créer des tensions entre les communautés.
C’est le même cirque depuis des années. Mais plus aucun Bxlois n’est dupe depuis longtemps.
Et ce ne serait pas la 1ère fois que la presse belge donne un faux nom genre « Vanderelst » pour calmer le jeu alors que le parquet a refusé, lui, de donner le nom, la nationalité et même la commune où habite le tueur. Car il y a des communes à très forte concentration immigrée.
Inversément quand c’est vraiment un belge de souche, le parquet s’empresse de le dire alors. Comme il l’a fait avec ce jeune assassin raciste qui a tué une nurse africaine à Anvers, il y a quelques années. Ou encore, ce dingue qui a tué des enfants dans une crèche.
Là, à chaque fois, les noms sont directement donnés et avec photo en 1ère page.
Et ils l’ont fait aussi pour la jeune belge de souche qui était une kamikaze islamiste et s’est tuée dans un attentat.
Voilà pourquoi, quand ils sont silencieux sur l’identité d’un criminel, on sait d’office à quoi s’en tenir.
D’autant que c’est devenu une coutume depuis quelques années à Bxl chez certaines bandes de jeunes de casser tout ce qui porte un uniforme.
Quant à la punition du tueur, vu qu’il aurait donné la mort sans intention de la donner ( il voulait seulement lui éclater la tête ) dans quelques mois il sera libre. C’est couru d’avance.