« ne dit on pas : »heureux comme un arabe en Israel « ? »
Première fois que j’entends cette expression...
J’imagine que ça relève de la même mystification que celle qui a poussé les falashas a venir s’installer dans un pays dont les habitants les méprisent...
Mais bon... Il faut bien quelqu’un pour faire les basses œuvres... C’est d’ailleurs pour cette même raison que le gouvernement israélien s’acharne à convaincre le plus de séfarades possible à immigrer en Israël même lorsqu’ils sont très heureux chez eux : Les ashkénazes israéliens les plus racistes ont en effet besoin de prolétaires pour accomplir les tâches et occuper les métiers les moins gratifiants.
Ceux-là ils auront été bien baisés par le mythe de la solidarité israélienne avec les communautés juives du monde entier.
http://www.liberation.fr/monde/0101254519-israel-la-fracture-ouverte-entre-ashkenazes-et-sefarades-les-declarations-racistes-d-un-cacique-du-parti-travailliste-contre-les-juifs-marocains-ont-rouvert-les-vieilles-blessures-entre-les-deux-commu
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/inquietant-racisme-en-israel-59305
http://www.streetpress.com/sujet/737-photo-reportage-a-jerusalem-100-000-juifs-religieux-manifestent-contre-la-cour-supreme
Etc, etc, etc...
« c’est sans doute pour cette raison que beaucoup frappent à la porte... »
C’est peut-être plutôt pour essayer de récupérer le bien dont ils ont été spoliés par des colons racistes d’origine européenne.