Je passe sur les détails de vos 2 gloubiboulga rempli de non-sens économiques (un pays peut etre anti-libéral sans Etat et libéral avec bcp d’Etat par exemple, ça invalide tout ce que vous racontez sur le libéralisme), d’erreurs factuelles et de mauvaise foi socialiste, je ne veux pas me fatiguer à vous apprendre l’économie.
Ce qui ressort de votre logorrhée cependant, c’est les raccourcis systématiques que vous faites, en dépit de tout bon sens. Oui je suis riche, et oui je suis bien plus solidaire si on me baisse les impôts que si on me les monte,et oui je payerais mes impôts volontairement si cet argent était bien utilisé. Vous rêvez d’une société soumise à l’Etat, je rêve d’une société d’adultes responsables qui participent volontairement à la propriété commune car l’Etat ne les spolie pas, bref d’une société consensuelle et non coercitive. Mais vous ne pouvez pas comprendre ça, trop englué que vous êtes aux ras des pâquerettes dans la jalousie maladive d’autrui.
Ce que vous êtes incapable de comprendre, c’est qu’il ne peut y avoir de vertu contrainte, et que vous ne forcerez pas les humains à être généreux à coups de taxes et de loi liberticides. Vous confirmez l’évidence : vous ne comprenez que la force, et ne pouvez donc promouvoir que des idéaux fascistes et coercitif, parce qu’au fond la liberté vous fait peur, alors vous voulez un semblant de sécurité bien au chaud dans l’Etat nounou. Comme un gamin qui refuse de sortie des jupes de sa maman.
Je vous laisse donc dans votre misère intellectuelle et morale, vous êtes plus à plaindre qu’à blâmer. Un jour peut-être vous comprendrez que la vrai richesse, c’est la relation libre à autrui, l’authenticité des relations débarrassées des coercitions diverses. D’ici là, vous continuerez à haïr, à contraindre, à légiférer contre, contre, contre. Faites gaffe quand même, vous vivrez pas vieux en étant aussi aigri.