J’ai espéré longtemps, je redoutais souvent
J’ai dit enfin adieu aux craintes et aux espoirs.
Mais le cœur, vide, n’a plus de bonheur
et se languit de l’espérance, de la peur...
La est peut être un tournant Deneb...
ce poème que je trouve intéressant indique , pour moi, que ce qui dirige nos cerveaux préfère la souffrance de la peur et de l’espoir parce que je les connais et que cela devient alors son « bonheur » faute de mieux , il préfère cela à ce qu’il croit être vide et qui est ,peut être en fait simplement ce qu’il ne connait pas,cet « autre chose » que l’on devine parfois..et le piège de se refermer ..le voyage d’une vie va rester dans le connu de chacun....toujours en opposition aux autres...là nait la guerre la violence, la haine et tout le reste....sujet d’une vie ...avant d’être mort...pour de bon , cette inconnue qui est la mère de toutes nos peurs..la peur qui est d’abord fuite , la fuite de l’ ultime qui ne marche jamais....il est curieux de noter que quand nous rencontrons un absolu comme celui de la mort qui sera là , mais qui n’est pas là , on refuse cet absolu...car il vient contrecarrer tout projet de continuité..continuité dans le cerveau inconscient , inconscient pour « moi -je » pas en absolu bien sur, continuité dans l’inconscient est traduit par la mort j’ai peur , je n’en veut pas au niveau conscient superficiel..etc etc..
de savoir rester avec ce que l’on croit être vide,va ouvrir l’autre cerveau.....celui qui n’est pas analytique et fait de constants choix oui/non....celui qui regarde le fait tel qu’il est et sait en connaitre la vérité ou le mensonge,si il est faux il est éliminé ,si le problème a une solution ,elle sera trouvé par cet autre cerveau...on a tout,on ne l’utilise pas par ignorance et fuite de l’inconnu pour ne fonctionner que sur ce que l’on sait et qui reste limité aux « choses » , a ce que l’ œil voit..survivre et se connaitre ca suffit......
tout ceci doit être lu avec la limite de : pour moi...rien d’absolu ici...
salutations..