Comité cicéron,
Le libéralisme prédateur (désolé pour le pléonasme) ne se présente jamais au grand jour : à l’instar des parasites, l’idéologie libérale noyaute toutes les instances de décision et les partis politique qui se laissent faire.
Le libéralisme est un impensé : Il a corrompu le PS en jouant de la confusion liberal et libéral. Aujourd’hui, le roi est nu mais aucun de ses courtisans ne l’admettra jamais. Le PS n’est plus à gauche depuis longtemps, et dire le contraire comme vous le faites, est obscurantiste
Le vampire a bien essayé de séduire la gauche, la vraie, avec ce miroir aux alouettes qu’est le RU : peine perdue, les travailleurs - je désigne ainsi ceux qui veulent vire de leur travail et qui ont un sens aigu de l’équité (*) - ne mangent pas de ce pain là.
Il n’y a prétendument à gauche que ceux qui se disent libéral et de gauche : un oxymore évident, puisque être libéral c’est être individualiste et de gauche c’est jouer collectif. Pas plus qu’on ne saurait le demander aux communistes purs et durs, on ne peut pas compter sur aux libéraux pour faire correctement la synthèse entre ces deux extrêmes de la nature humaine.
(*) Ce sont les myriades de dénis de justice provocateurs commis par la prédation libérale qui ont déclenché hier les indignations des petits hessel, et aujourd’hui la grande colère du Front de gauche.