Ce qui s’est passé c’est surtout une grosse manipulation sondagière à trois bandes dont l’effet sur el FdG est de faire passer une score incroyable et inattendu pour une défaite...
Dons on a réussi le pari du score à deux chiffres qui faisant trembler tout le monde il y a 6 mois... et on est là à être déçus ?
On peut-être déçu du haut score des LePen et Sarkozy, ça oui, mais être déçu du score du FdG, non. A moins d’avoir perdu tout sens de l’objectivité et d’avoir cru les sondages comme parole d’évangile.
Soyons francs les sondages nous ont baladé par le bout du nez. Il était il faut dire absolument inconcevable qu’ils puissent mentir à ce point. 4 à 5 points de trop à Mélenchon et 3 ou 4 en moins à LePen... c’est du jamais vu. tirons en les enseignements au lieu de gémir sur une déception crée de toute pièce par ces mensonges.
@Fergus : Concernant le PS, il était impossible de faire autrement. Le PS a dès le départ attaqué à fond et de manière absolument inacceptable pour qui que ce soit le FdG. Comparaisons aux plus grands monstres de l’histoire, assimilation à l’extrème-droite, dédain et mépris envers le candidat, le programme et ses électeurs. Ce n’est qu’après que nous avons décidé de répondre et le score à deux chiffre que nous avons malgré tout réussi contre toute attente à décrocher prouve qu’on a eu raison de ne pas se laisser éliminer du débat par ces insultes et calomnies. Si nous n’avions pas répondu, nous aurions fini à 3 %, complètement décrédibilisés.
Nous n’avons tout simplement pas eu le choix. Nous étions la cible de tout les autres candidats et de tout les médias. Malgré nos efforts pour que ça soit le FN, c’est nous qui avons été l’épouvantail médiatique et politique.