La première des concession c’est de mettre un holà à la bancocratie.
« Au lieu de se taire, l’homme des spéculateurs mondiaux, de la stratégie du choc, de la violation de notre Constitution, du mensonge avéré, et de la bancocratie, préside toujours l’Internationale « Socialiste » et parle en son nom. Pourquoi ? Je suppose que cette déclaration « Papandréiste » sera ignorée par les médias français, et pour cause. François Hollande pourrait sans doute se passer d’un tel soutien.
»Nos démocraties occidentales étaient bien trompeuses depuis longtemps. Mais elles conservaient pourtant ce « mérite » de l’existentialisme représentatif, institutionnellement fantasmé. Je crains fort que ces élections en France, en Grèce ou ailleurs, seront pratiquement les dernières sous « l’ancien régime », car le pouvoir directement exercé par les « créanciers » ou les « actionnaires », passera bientôt l’éponge sur ces pratiques, « gênantes et coûteuses ». Comme au Chili, il y a déjà un moment, l’expérience du « marché » sans la « démocratie » a préparé la seule véritable issue au méta-capitalisme. Puis, il y a eu la découverte « soudaine » des « dettes souveraines », permettant la poursuite de l’expérience chilienne en Europe, derrière les instances de l’U.E., co-fécondatrices de l’ordre nouveau. Sous la conduite des « affaires » également, par un certain dirigisme allemand, dont les initiateurs auront peut-être du mal à convaincre durablement du bien-fondé de leur démarche, y compris devant le peuple allemand. "
C’est là : la bancocratie n’a plus d’autre choix que d’imposer son capitalisme « matrixien » ou sinon, imploser