Monsieur Holbecq,
Je ne suis en rien hargneux, tout juste vous concède-je que vous m’énervez. Et il y a vraiment de quoi !! Car ce que vous faites est d’une malhonnêteté rare.
L’erreur que je viens de pointer, reconnaissez-le, cela fait cent fois que je vous la signale. Et pour la centième fois, vous refaites la même. Et ça, c’est inadmissible.
Si vous aviez ne serait-ce qu’apporté un argument, une réponse satisfaisante, jamais je ne me serais permis de rappeler vos turpitudes. Mais vous choisissez de donner le bâton pour vous faire battre ! Vous ne méritez rien d’autre.
Il faut que les lecteurs comprennent qu’à plusieurs reprises, j’ai interpellé AJ Holbecq de façon tout à fait civile pour lui indiquer ses erreurs. Cet abruti n’a jamais été capable d’y répondre, multipliant les réponses dilatoires et les péroraisons. Depuis, je ne prends plus de gants avec ce véritable charlatan qui profite du ressentiment des français à l’égard du monde financier pour leur vendre ses lubies aussi abjectes que ridicules.
Rappelons-le une nouvelle fois : André-Jacques Holbecq n’est en rien un expert, il était plus connu avant de découvrir la loi de 1973 pour s’être intéressé à l’ufologie (c’est à dire l’étude des petits hommes verts). Après des années de recherches, il s’est finalement rendu compte que les prétendus messages qu’il recevait des extraterrestres était le fait d’un plaisantin qui se payait sa tête. Pour notre plus grand malheur, il s’est alors intéressé à l’économie. Dans quelques années peut-être, il se rendra compte qu’il s’était trompé...