Excellent article, excellent travail, bien que partisan, en conclusion surtout.
Je viens de dire sur un autre commentaire, qu’AgoraVox venait d’être transformé en Agoravox populace.. Mea culpa à la lecture de ce que vous avez produit. Quelques espoirs ne sont pas interdits.
Votre texte servira de référence. On pourrait souhaiter des eclaircissements, sur l’Eurasie pas exemple, l’Axe Rome, Paris, Berlin Moscou..
Plein d’autres questions, sur un Soral très-compliqué (en apparence)..
- « Tous les enchaînements de l’histoire devraient donc aboutir au « règne de la finance américaine sur le reste du monde... » écrivez-vous.
Il serait préférable d’affirmer que :
- « Tous les enchaînements de l’histoire ont donc abouti au « règne de la finance américaine sur le reste du monde ».. C’est fait.
- « Oui, c’est vrai, le fascisme s’est toujours posé en alternative au libéralisme. Mais il n’ambitionne nullement la fin de l’exploitation capitaliste » écrivez-vous.
Il n’a jamais ambitionné la fin de l’exploitation capitaliste.. Puisqu’il il en a été l’habile construction, tout comme le communisme, son frère suçon !
Il convient, à propos de fascisme, de parler au passé. Le capitalisme a réussi à construire le fascisme dans des sociétés ayant été engagées dans des guerres généralisées, des sociétés « militarisées ».
Ces conditions n’existent plus actuellement. Sans esprit militariste, point de fascistes.
Juste une société un peu « virile », comme celle de l’Amérique de notre époque. A noter cependant que l’Amérique est l’hétitière la plus ressemblante du fascisme historique. Les voisins sont armés et font flotter leur drapeau dans leur jardin ! Ils soutiennent toutes les guerres.. Je pense que chez vous, c’est extrêment rare.
Vous en appelez à « La constitution d’un large front anticapitaliste et antifasciste »..
Ajoutez-y « anticommuniste », il s’agit d’une indivisible Sainte-Trinité.
A moins qu’on jette sur le communisme le regard de Brasillach : "le communisme, tout comme le christianisme, devra se perdre pendant un siècle ou deux avant de l’emporter définitivement.
Bien cordialement