L’auteur de cet article, Monsieur Zakari, à le mérite d’avoir soulevé un thème, qui mérite tout notre attention.
La gestion d’un est un véritable scandale en France, je sais de quoi je parle, car j’ai consacré plusieurs mois de mon temps libre à l’étude de la gestion d’eau en France.
L’exception française veut que 80% de l’eau en France est gérée par des sociétés privées, Véolia, Suez et Saur. En Suisse par exemple l’eau est gérée à 100% par le secteur public. Aux États Unis, pays ultralibéral, seulement 20% de l’eau est gérée par les sociétés privées.
En France, ce sont les communes qui ont la responsabilité de la gestion
de l’eau potable, assainissement et eaux pluviales. Les communes ont le
choix de gérer l’eau librement, elles même, c’est-à-dire en « régie »
(gestion public) ou de déléguer la gestion d’eau à des sociétés tiers du
secteur privé.
Beaucoup de maires ont été implique dans des scandale de la gestion d’eau. En délégant la gestion de l’eau potable et de l’assainissent à une des multinationales certains maires ont reçu en cadeau de retour une belle somme d’Argent comme par exemple la ville de Toulouse.
En 2003, l’association citoyenne toulousaine „Eau Secours 31" découvrit la véritable nature de ce qu’on appelait alors le „ticket d’entrée », celui que la Compagnie Générale des Eaux (aujourd’hui Veolia) a payé lors de la signature du contrat de concession avec Toulouse. Ces 473,5 millions de FF, Dominique Baudis, le maire de l’époque, les présentait comme une véritable prouesse dans le deal avec Veolia. Avec cette somme, la ville pouvait boucher les trous de son budget, subventionner la construction de quelques bâtiments publics et baisser les impôts locaux.
Peu après, l’association « Eau Secours 31 » est tombée sur un
passage resté secret du contrat de concession. Celui-ci prévoit une
augmentation du prix de l’eau pour financer le droit d’entrée. Ce
n’était plus Veolia mais bel et bien l’usager toulousain qui payait le
ticket d’entrée.
ET Toulouse n’est pas un cas unique !
Sur mon site web www.eau-du-robinet.fr je cite autres exemples ....
La gestion d’eau est une affaire qui rapporte aux multinationales.
Jean Luc Touly, ex cadre de chez VEOLIA, lute aujourd’hui contre la surfacturation de l’eau. Il estime l’hauteur de la surfacturation entre 25 et 45% au niveau national.
En 1995, le prix moyen du mètre cube facturé par le privé dans les Landes était supérieur de 70% à celui distribué par le public.
http://www.sudouest.fr/2011/07/12/le-prive-perd-la-bataille-de-l-eau-449951-640.php
Puis le prix de l’eau est seulement une partie du problème, l’autre comme l’évoque Monsieur Zakari, est liée à la qualité de l’eau.
Il faut savoir que les distributeurs d’eau utilisent, parmi d’autres, un procédé de traitement de l’eau, la floculation sulfate d’aluminium
, qui est utilisé pour supprimer des impuretés dans l’eau potable. La conséquence de ce traitement est que environ 16.000.000 de français boivent une eau, chiffre datent de 2006, qui est
dangereusement charge en aluminium. Pourtant il existe une alternative à
la floculation sulfate d’aluminium bien moins dangereuse qui est la
floculation aux sels ferriques. La France compte aujourd’hui 900 000
personnes malades atteint par la maladie d’Alzheimer.
Une étude épidémiologique menée en 2000 par l’Inserm sur la Dordogne et la Gironde, nous a révélé que la maladie d’Alzheimer était deux fois plus fréquente lorsque l’eau du robinet contenait plus de 100 µg par litre d’aluminium. La loi française autorise que l’eau « potable » du robinet contient 200 µg/l (soit 0,2 mg/l).
Je vous invité de découvrir la suite sur mon site web : www.eau-du-robinet.fr