Très intéressant et dépaysant
Merci Argo
Je suis fortement surpris que ces hommes ayant toujours à intervenir sur des structures penchées aient développé si peu de réflexes de sécurité. La moindre des précautions consisterait, tant qu’on n’est pas dans l’eau, dedans ou dehors, à être sécurisé par une corde, un harnais (ce qu’ils ont fait) et ne jamais s’en défaire si on est à plus de 2m de chute potentielle (ce que Johnson n’a pas respecté)
(15kg de matériel c’est broutille. Bien des soldats ont eu à sortir des barges de débarquement avec 40 kg sur le dos. Bonjour la noyade s’ils n’avaient pas pied)
Le coup des boucles faites tous les mètres me semble également bizarre tant il existe de systèmes spéciaux permettant de descendre et de se bloquer à la hauteur qu’on veut.
Cette opération de reconnaissance tenait, comme toutes les opérations de ce genre, bien plus de l’escalade que de la plongée. Je considère qu’il leur fallait donc porter une combinaison, une Fenzy Aéris confort permettant de supporter les ambiances irrespirables quelques minutes (il y a toujours des vapeurs toxiques et des risques de mise à feu dans ces cas là). Une torche frontale non feu, un harnais, des mousquetons de descente et de montée, une balise et un casque de canoé kayak.
Ici, il aurait suffit de 160T de plus ou de moins sur un bord pour revenir à l’horizontale.
Dans d’autres cas, il faudrait peut-être 10 000T soit un volume de 200x10x5m d’eau.
Pourquoi ne pas concevoir des airbags géants qui seraient déployés au choix soit en un éclair sur réserves de gaz comprimé (comprimé à 100 bar, la moitié des bouteilles de plongée, ça ferait des citernes de 100 m cube) soit progressivement avec un compresseur.
Un navire comportant au-dessus de sa ligne de flottaison et dans un repli de la coque des airbags périphériques pourrait se transformer en pneumatique, insubmersible, rester horizontal, accessible, vivable, remorquable, et accessoirement amortir une collision avec un autre navire. Ce gaz contenu en réserves serait pauvre en oxygène mais respirable afin qu’en cas d’incendie, il puisse être injecté depuis la cale pour réduire les incendies.
Toute personne embarquée sur un navire devrait avoir en permanence sur elle un gilet Fenzy de flotaison (qu’elle peut gonfler à la bouche), une petite réserve d’oxygène à bouche, une balise, un sifflet et une torche. C’est quasiment la règle pour quiconque fait du ski, ça devrait être la règle dans la marine.
D’autre part, tout navire ayant un problème devrait lâcher en sa périphérie quelques cordes flottantes avec flotteur lumineux au bout. Dispositif à normaliser pour adéquation aux sauvetages et apontages
Concernant les transbordements avec les bâteaux d’assistance, je renoncerais définitivement aux verticales donc aux abordages à flanc. Les navires d’assistance resteraient toujours au loin et les transbordements se feraient toujours en tyrolienne motorisée tant à la descente qu’à la montée (avec dispositif de maintien de tension égale)
20/05 13:35 - Radix
Bonjour Easy Très intéressantes suggestions mais qui ont malheureusement un coût... (...)
18/05 21:02 - easy
Très intéressant et dépaysant Merci Argo Je suis fortement surpris que ces hommes ayant (...)
18/05 18:48 - gordon71
bonjour génial, comment ai je pu louper les premiers épisodes, haletant on s’y croirait (...)
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