La dernière histoire que se racontent
les bobos.
Les faits se sont passés aux USA et
ont été révélés par un américain n’ayant pas précisé
l’identité de son héros, probablement par basse jalousie et pour ne
pas flatter l’ego du français moyen.
Au lendemain d’une sordide affaire de
mœurs, au cours de tests de routine comme seuls savent en imaginer
les psychologues américains, l’inculpé s’avéra capable de casser
une noisette sur le coin d’une table à l’aide de son membre viril.
Une performance aussi étonnante, longtemps tenu secrète bien
qu’ayant pu expliquer l’usage abusif que le possesseur de ce sexe
phénoménal pouvait en faire, finit par franchir les murs de la
prison où l’intéressé achevait de purger la longue peine à
laquelle il avait été condamné et parvint aux oreilles d’un expert
en sexologie. Ce dernier décida donc, pour les besoins de ses
études, de vérifier par lui-même et réussit à obtenir
l’autorisation d’interviewer le prisonnier dans sa cellule. Lorsqu’il
en vint à lui demander s’il se sentait encore capable de procéder à
la démonstration qu’il avait faite à la lointaine époque de son
arrestation, son interlocuteur se saisit, non pas d’une noisette mais
d’une noix de coco et l’ayant disposée sur le coin de la table la
fit éclater d’un coup de son sexe.
Médusé, le savant lui demanda :
— pourquoi une noix de coco et non
pas une noisette comme cela m’a été rapporté ?
— Mon pauvre ami, lui répondit le
prisonnier avec tristesse, des années se sont écoulées depuis les
noisettes, et avec le temps, ma vue n’est hélas plus ce qu’elle
était.