On dirait que certains commencent à comprendre ?
Il y a de cela 30 ans, un professeur d’économie de gand(perle des ardennes pour le clin d’oeil à Herge) avait proposé une révolution de notre organisation du travail, car déjà à l’époque, il avait pressenti le danger.
Cela tenait en un constatation:la solidarité sociale repose essentiellement sur le travail,et ceci pour des raisons historiques.
On supprime donc la perception des sommes allouées à la sécurité sociale et pensions, sur le travail, et on les reporte sur l’impôt, direct et indirect.
On adapte le taux d’imposition des sociétés, dont l’assiette est calculée en fonction d’un rapport à établir par secteur, entre la masse salariale, et le bénéfice brut.
On adapte les barêmes de taxation des particuliers pour rendre les gains au delà d’une somme à établir,inintéressants.
On impose la flexibilité totale du travail, l’état prenant en charge, les gens ayant perdu leur emploi.
Des simulations faites sur l’économie belge de l’époque indiquaient un manque immédiat de main d’oeuvre.Mais les plus virulents opposants ont été les syndicats, et pour cause, une de leur principale source de financement est justement le chômage(je parle d’une particularité belge)
En tout cas, avec ce système il devenait tout à fait profitable de produire au pays, et l’importateur se voyait surtaxé, ce qui dans les 2 cas était un plus pour le pays.