Selon l’adage, l’homme creuse sa tombe avec ses dents. Et comme il a les dents de plus en plus longues, ça promet.
Sérieux. Quand j’achète du poisson, je ne prends que du « pêché en mer ».
Petite note : si vous achetez de la perche du Nil, sachez qu’elle est souvent pêchée à l’aide de produits anesthésiants, du genre herbicide. Il y a eu un docu à la télé il y a 10 ans, et allez voir le film « Le cauchemar de Darwin ». Edifiant.
Quant aux crevettes et autres bêtes à pattes, leur indication d’origine n’est jamais obligatoire si elles sont conditionnées avec une soi-disant sauce. Vérifiez sur les emballages (bravo l’Europe !). Elles sont élevées dans les mêmes conditions que le panga.
Ne parlons pas du poulet, du porc, du boeuf, du veau, des fruits et légumes, de l’eau « potable », e tutti quanti. Et même le vin qui contient de nombreux résidus de produits chimiques (la France étant le plus gros consommateur de pesticides à l’Ha. d’Europe).
Maintenant, mangez ce que vous voulez et allez engraisser l’univers pharmaco-médical. Et l’Union Européenne a d’autres chats à fouetter.
Ah, j’oubliais, Leclerc offre des ristournes pour les pompes funèbres. Il n’y a pas de petites économies. Comme disent les anglo-saxons, « We take care of you from cradle to grave » (Nous prenons soin de vous du berceau à la tombe).