Le mieux en ce qui concerne des clandestins par définition en situation, non pas irrégulière, mais illégale en France, c’est de les renvoyer chez eux avec humanité. Lorsque l’on viole la loi d’un pays, on court le risque d’être sanctionné par elle.
D’autre part en les renvoyant on tari la manne humaine corvéable à merci qui sert incroyablement les intérêts du grand patronat, à travers notamment les activités non-délocalisables à l’étranger, et qui est objectivement, à l’intérieur de nos frontières, le parfait complément de la concurrence déloyale des pays émergents à bas coûts que nous avons à subir à l’extérieur de celles-ci !
J’entends par ailleurs l’histoire émouvante d’Emilienne Mopty, qui sert ici éhontément de jouet idéologique au camp Mélenchon, cela à vocation de sidération des esprits faibles.
Mais cette pauvre dame n’aurait plus que ses yeux pour pleurer si elle était toujours de ce monde, voyant comment son pays à évolué, à quoi il ressemble à présent, sous quel joug immigrationniste et antiraciste il se trouve, où les gens ne se disent même plus bonjour au motif qu’ils ne se comprennent même plus, ne vivent plus ensemble, ne parlant plus la même langue, n’ayant pas de même héritage, de même culture, de mêmes us et coutumes, de même système de valeur ; ne partageant plus rien ensemble, ni destin commun, ni volonté commune, ni passé commun, ni donc assurément d’avenir ; croulant sous l’insécurité à tout point de vue, sous l’incivisme permanent, l’A-culturation, le misérabilisme institutionnalisé par les mêmes ordures, ceci expliquant certainement cela.
Quelle honte d’instrumentaliser impunément sa mémoire, et ce afin de se l’approprier abusivement. A vomir.