Ces positions sont delicieuses a lire parce qu’elles sont sytematiquement en contradiction avec tous ce que furent, parait il, dans le passe, les « valeurs de gauche ». Laisser faire laisser passer, abstention de l’etat dans la gestion du pays. Il faut veiller a la mixite sociale dans une classe maternelle, dans un HLM, dans un quartier, pas dans le pays. On se rejouit que les migrants soient moins payes ( cela baisse les couts coco !), On evalue des gens en argent, « ils rapportent coco », l’humain d’abord ..... ? La culture en football, etc...
Bref, sur la seule question de l’immigration, les gauches reussissent le prodige d’avoir des positions parfaitment ultraliberales mondialisatrice, fondees sur des preoccupations principalement financieres et anti tiers mondistes ! Car il faut bine comprendre que si les jeuens formes qui viennet travailler chez nous payent un jour nos retraites, ils ne paieront pas les retraites de ceux qui ont paye leurs etudes au pays....
L’absurdite de ces positions est pourtant facile a demontrer. Il suffit d’aplliquer le meme raisonnement a la presence francaise en algerie. Arrivee d’une main d’ouevre tres qualifiee, ( pendant pas mal de temps, 100% des medecins sont des europeens....) mais aussi de tres important capitaux, implantation du football ( inexistant rappelons le avant la conquete...) Construction de toutes les routes etc.....
Entendons nou sbine : on peut etre pour, contre, indifferent a l’immigration pourtoutes sortes de bonnes raisons. Ce qui est comique, c’est qu’aujourd’hui, les gauches sont pour a priori, truvent ensuite des arguments et que ceux ci sopnt par ailleurs en porte a faux avec toutes les logiques de gauche.
La verite de tous cela, c’est que les partis de gauche sont des lobbies de la depense publiques. Leurs militants et elus vivent de notre argent et de sa redistribution selective. Les migrants sont pour eux un reservoir de gens a aider, a acceuillir, a loger, a encadrer, a faire voter. Ce sont leurs emplois et leurs justification. Ils nes concurrencent pas sur le marche de l’emploi du fait de la preference nationale. Ils sont fragiles donc dependant contrairement aux locaux facilement revendicatifs et jamais content.
Sur la question de l’immigration comme nul par ailleurs, la gauche apparrait comme ce qu’elle est vraiment : une classe sociale avide et indifferente au sort des populations, prete a tous les discours contradictoires pour assurer ses propres fins de mois, fut ce au detriment du reste des populations.