Bonjour,
un excellent article sur le racisme et la manière dont les salauds de l’oligarchie financière, industrielle, politique et médiatique (et je précise : tous les oligarques ne sont pas des salauds, mais ces derniers sont aujourd’hui bien trop nombreux, et c’est pourquoi l’oligarchie dans son ensemble est à combattre car la solidarité de caste y est omniprésente, quasi indéfectible), et la manière donc dont ces salauds (aidés par ceux qui ont dans le passé des crimes racistes sur la conscience) exploitent les bas instincts dont le racisme en est une des expressions la plus ignoble, pour assurer leurs privilèges et exploiter toujours plus les plus faibles.
Un article comme on aimerait en lire plus souvent sur AgoraVox.
Maintenant il y a me semble-t-il des sujets, même si leur présence serait justifiée, qu’il faut éviter de traiter de manière lapidaire dans le cadre d’un texte sur le racisme, qui à lui seul suscite déjà les passions.
Je veux parler notamment de l’immigration clandestine et des sans-papiers.
Parce que ces sujets, complexes, exigent un vrai développement pour bien en comprendre les tenants et les aboutissants.
L’immigration clandestine, contrairement au racisme unanimement condamné même par ceux qui s’y fourvoient (à part les malades et les grands pervers qui sont eux aussi sans doute des grands malades, aucun raciste ne s’avoue raciste), l’immigration clandestine donc fait intervenir la délicate question du respect de la loi, sans lequel il n’est pas de collectivité structurée et équilibrée.
Ce dont il faut donc parler quand on évoque ce sujet c’est de la plus ou moins grande légitimité de la loi. Et ça ne se traite pas à coup de phrases lapidaires.