L’auteur doit certainement débarquer d’une planète lointaine pour ne pas saisir que cette alliance idéologique et politique, en tant qu’elle serait débarrassée des oripeaux du fascisme et résolument nationale et souverainiste, est à n’en pas douter MAJORITAIRE en France. Et donc possiblement victorieuse dès les prochaines échéances électorales si jamais elle se réalisait (ce que je ne crois personnellement, compromissions mondialistes des édiles UMP oblige).
Tant il est vrai que Sarkozy a écrasé sa rival socialiste en 2007 (53,1/46,9 au second tour avec 84% de participation) sur un programme qui avait pleinement phagocyté celui de Le Pen père, et ce après 5 ans de gouvernements de droite. Il convient donc de saluer la performance.
Malheureusement pour le pays tout cela n’était que de vulgaires promesses, comme il était d’ailleurs parfaitement prévisibles, et il n’y eu que les éternels cocus pour s’y être laissé prendre.
Une comparaison fort peu flatteuse d’ailleurs, mais emblématique de la nullité qui parcours l’analyse sociologique de l’auteur, avec la victoire étriquée du candidat par défaut Hollande, et ce malgré le rejet massif et l’effet repoussoir du président sortant dans l’opinion.
Mais on ne saurait faire boire un âne qui n’a pas soif.