Bonjour,
je ne suis pas chimiste mais je subodore le procédé mi au point pour fractionner la couche de schiste afin d’en extraire le gaz. C’est Marie Monique Robin qui nous met sur la voie dans son film « le monde selon Monsanto ». http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=le%20monde%20selon%20monsanto&source=web&cd=4&ved=0CF0QtwIwAw&url=http%3A%2F%2Fvideo.google.com%2Fvideoplay%3Fdocid%3D-8723985684378254371&ei=23fgT9jaGsfB0gWGxMGJDQ&usg=AFQjCNGRUs7AIcse0sE60eh-u28blS4RTg&cad=rja
cette entreprise inventeuse du zyclon B et de l’agent orange, première productrice de poisons chimiques du monde a produit des milliers de tonnes de produits dangereux dont seuls quelques uns servent comme pesticide pour la culture des ogm. Les autres que l’on aperçoit dans le film de la journaliste n’avaient pas trouvé acheteurs jusqu’à l’idée du gaz de schiste.
Le procédé consiste donc à les injecter dans le sol dans un ordre précis afin qu’ils se combinent petit à petit en profondeur. Lorsque le mélange détonnant s’est reconstitué sous terre et arrive à maturation, c’est l’explosion. Ce cracking infernal permet de déstabiliser le sous sol et crée une pression énorme qui repousse ainsi les gaz contenus vers les autres puits mais aussi directement vers les nappes phréatiques, les polluant gravement. C’est tout bénef pour l’entreprise qui fourgue ainsi des stocks généreux de poisons invendables et se débarrasse enfin de milliers de tonnes de produits extrêmement corrosifs et coûteux à stocker.
Les étasuniens se contre moquent du prix de cette exploitation puisque de toute façon, au bout de la chaine, c’est nous qui payent. Par ce subterfuge, ils remontent dans les statistiques parmi les producteurs sérieux du monde au sommet desquels on retrouve la Russie et l’Iran, en conventionnels, respectivement 1er et 2ème producteurs mondiaux.
Ils se contre moquent également de l’état dans lequel ils laissent notre environnement derrière leur passage. Ces menteurs professionnels annoncent donc des prévisions de stocks disponibles considérables pour rassurer les autorités et obtenir des permis d’exPLORation, lesquels ensuite ont transformés aisément en permis d’exPLOITation, à l’aide de simple enveloppes passées sous la table...
Cet épisode, le dernier stade dans la course folle vers les dernières énergies minérales atteint l’horreur absolue. Merci de penser à alerter votre député fraichement élu. L.S.