« Interprétations et avis personnels », dites vous : je réponds que non, évidemment,
et bien sûr je vous mets au défi de produire une démonstration
contraire. Développez, vous y gagnerez en lisibilité et en compréhension. ;)
Je reconnais volontiers que ce texte est (très) dur à lire. Je n’ai jamais été fort pour produire des textes coulant comme du petit lait. Quant à celui-ci, je pense que la densité du matériau compliquait encore rudement la tache. Bref, j’espère qu’il saura quand même être apprécié / jugé sur le fond.
Je crois que ce texte est affreusement synthétique, au contraire, et que c’est cela,
plutôt qu’un manque de concision, qui le rend difficile. Mais ce n’est ni un texte sur la
monnaie, ni un descriptif des rouages de l’Union européenne et des mille
et un méfaits de ce monstre. Un peut-être malheureux de ma part a été de ne pas citer in extenso
quelques uns des propos tenus par Jacques Généreux dans son livre, notamment en
lien avec l’accusation qui renvoie en note 4. Mais bon, comme je l’ai
écrit, réagir à ce livre n’a été qu’un prétexte, une occasion, de
rédiger cette « supplique ». Disons d’ailleurs que j’ai choisi ici J. Généreux car « qui aime bien châtie bien ».
J’ai tenu à me concentrer ici sur un sujet
réduit — même si la thèse prétend envelopper un ensemble de
conclusions vaste... vu qu’elle condamne l’Union européenne en bloc,
sans appel ni recours — pour la bonne raison que je n’ai vu exposée
nulle part cette thèse, pour ne pas dire ce décryptage.