Les 5 étapes du deuils.
Je ne citerai que les deux premières, car bon nombre d’entre nous sont bloqué à la première : le déni, la colère. Comme certain, je forgeait une espérance sur Jean Luc Mélenchon. A l’époque, il faisait le buzz sur internet et était décrié dans la presse parisienne (plutôt un bon signe). Lutte contre les banques, Wall street et la pensée unique étaient les mots d’ordre. Un programme politique anti-UMPS en sorte, un programme anti-Sakollande.
Le Front de Gauche n’étant plus un partie anti-système, mais anti-FN. Fini la révolution contre les banques, les Golden Boy et la crémière. Mieux,il aura fallu 2 minutes au représentant du FdG pour renier tous les fondamentaux de sont programmes en appelant à voter « sans concession » pour celui qui représente « le système ». Quel magistral retournement de veste. Dénie pour certains, déception pour d’autres. Les faits sont tenaces et vous n’échapperez pas aux autres étapes du deuil : le marchandage, la dépression, l’acceptation.
Quelle trahison, mais quel intelligence politique :
Ayant compris le massacre économique, social, et donc politique qui attendais le futur gouvernement, il à refusé toute idée d’y appartenir. Aujourd’hui, Il peut confortablement jouer l’arbitres de la « vrai gauche », le gardien de la république, le pourfendeur de la menace FN. Attendant tranquillement son tour pour 2017. Espérant le scénario des législatives Grecs ou il redeviendra le nouveau Hugo Chavez. Et d’ici là, qui ce souviendra de ce fameux discourt ?