• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de sam turlupine

sur Question : il est où Mélenchon ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

sam turlupine sam turlupine 29 juin 2012 20:49

Par Ariane Walter (xxx.xxx.xxx.53) 29 juin 11:44


Vous avez lu cet article, la modération ? Il est possible maintenant quand on écrit des articles politiques d’affirmer "marine le Pen est une conne".
On en est là ?

Moi qui ai si souvent recommandé la lecture de ce media à des amis, si souvent partagé ses articles, ce matin , j’ai HONTE d’Agoravox.

je pense que vous n’avez pas bien lu, la modération. Supprimez-le. Il y va de votre crédibilité.

Ca, c’est la meilleure !

Madame Walter, agrégée de lettres , prend pour prétexte la figuration, au sein d’un article, du mot « connerie » (qui existe dans le dictionnaire et la langue française), pour .... réclamer la censure d’un article.

En fait, et chacun le sait, ce prétexte ridicule ne sert qu’à une tentative de censure (si chère à Madame Walter) parce que l’article OSE dire du mal de son prophète, son idole, son messie, son dieu vivant, celui qui a pris tout pouvoir sur elle, l’intouchable étoile de ses nuits...

S’il faut supprimer le mot con ou connerie de la littérature, ou de la chanson, ou de la langue française, notre patrimoine culturel va se voir priver d’une foultitude d’auteurs (ce qui, c’est sûr, faciliterait la tâche des profs de littérature), et non des moindres, n’est-ce pas, Madame Walter ?

Je crois que le ridicule de Madame Walter atteint ici son sommet.

Quant à la « vulgarité » dont elle se proclame farouche adversaire, beaucoup plus que dans les termes, elle se manifeste, je l’ai déjà dit, dans des attitudes de pensées et des comportements ; la demande de censure en est une des manifestations les plus brutales, les plus indignes, de même que la volonté de faire taire tout avis divergent, et de tenter de discréditer ceux qui osent ne pas s’abimer dans la prosternation dune idole.

Madame Walter est, sur ce site d’Agoravox, un des esprits les plus évidemment vulgaire qui soit.

Pour ce qui est de son interprétation de la photo, là, ça ne relève plus de la vulgarité, mais d’un problème spécifiquement pathologique ; quelque chose qui s’articule autour de la psychose paranoïaque, mais qu’on gardera, pour son pouvoir hilarant...

Allez, Madame Walter, pas si grave tout ça ; vous allez bien nous publier une de vos nouvelles photos, pour compenser ...
 smiley

Petit cadeau pour l’enrichissement de votre syntaxe ; Le temps ne fait rien à l’affaire d’un certain Georges Brassens (vite,vite, avant la censure)...

Et puis, allez, ne mégotons pas : quelques poésies :

Con large comme un estuaire

Con large comme un estuaire
Où meurt mon amoureux reflux
Tu as la saveur poissonnière
l’odeur de la bite et du cul
La fraîche odeur trouduculière

Femme ô vagin inépuisable
Dont le souvenir fait bander
Tes nichons distribuent la manne
Tes cuisses quelle volupté
même tes menstrues sanglantes
Sont une liqueur violente

La rose-thé de ton prépuce
Auprès de moi s’épanouit
On dirait d’un vieux boyard russe
Le chibre sanguin et bouffi
Lorsqu’au plus fort de la partouse
Ma bouche à ton noeud fait ventouse.

Guillaume Apollinaire

Et puisque je vous sais spécialiste de Verlaine, un petit dernier pour la route ..

REDDITION

Je suis foutu. Tu m’as vaincu.
Je n’aime plus que ton gros cu
Tant baisé, léché, reniflé,
Et que ton cher con tant branlé,
Piné - car je ne suis pas l’homme
Pour Gomorrhe ni pour Sodome,
Mais pour Paphos et pour Lesbos,
(Et tant gamahuché, ton con),
Converti par tes seins si beaux,
Tes seins lourds que mes mains soupèsent
Afin que mes lèvres les baisent
Et, comme l’on hume un flacon,
Sucent leurs bouts raides, puis mous,
Ainsi qu’il nous arrive à nous
Avec nos gaules variables.
C’est un plaisir de tous les diables
Que tirer un coup en gamin,
En épicier ou en levrette,
Ou à la Marie-Antoinette
Et cætera jusqu’à demain
Avec toi, despote adorée,
Dont la volonté m’est sacrée,
Plaisir infernal qui me tue
Et dans lequel je m’exténue
A satisfaire ta luxure.
Le foutre s’épand de mon vit
Comme le sang d’une blessure...
N’importe ! Tant que mon cœur vit
Et que palpite encor mon être,
Je veux remplir en tout ta loi,
N’ayant, dure maîtresse, en toi
Plus de maîtresse, mais un maître.

 smiley



Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès