Mais pour vous faire gagner du temps, je vous poste le discours.
DISCOURS DE JEAN ROBIN :
(Eglise orthodoxe du père Samuel en Belgique)
« Mes chers amis,
Nous avons tous beaucoup de chance de connaître et d’avoir avec nous le Père Samuel. Je ne le connais pas depuis longtemps, mais il est certain que son existence a changé la nôtre et celle de beaucoup d’êtres humains, pour toujours. Il est un exemple, pour moi, et pour vous je le sais. Je le remercie, je vous remercie de m’accueillir aujourd’hui dans votre Sainte Chapelle.
Un autre de mes modèles est un certain Charles de Gaulle, né en 1890 pas si loin d’ici, et qui redressa un pays entier avec sa seule volonté et sa seule détermination. Je relisais récemment ses mémoires de guerre, dans lesquelles il relate notamment l’attaque nazie de la France par la Belgique. A l’époque, De Gaulle avait mis en garde depuis longtemps contre la menace nazie, et contre une arme qui se révéla déterminante : le moteur. Ce moteur qui permit aux chars et aux avions de contourner par la terre et par les airs notre fameuse ligne Maginot. De Gaulle l’avait vu, mais personne ne lavait écouté. Il raconte sa rencontre avec Léon Blum en 1936, et la suffisance avec laquelle il fut reçu, alors que Léon Blum serait quelques années plus tard déporté en camp de concentration (le même que celui où fut déporté et tué mon arrière-grand-père), victime de sa propre politique lâche et irresponsable.
Aujourd’hui, l’Univers fait face à une nouvelle menace, tout aussi dangereuse que le nazisme bien que de nature différente : c’est l’islam. Il s’agit d’une nouvelle guerre mondiale. Le Père Samuel le dit, mais comme De Gaulle à son époque, qui l’entend ? L’islam est la nouvelle menace qui pèse sur notre civilisation occidentale et judéo-chrétienne, ne nous y trompons pas. Hitler a bénéficié de la lâcheté des alliés et de la puissance du moteur, l’islam bénéficie aujourd’hui de la même lâcheté des occidentaux, et de la puissance de l’antiracisme.
L’antiracisme est le moteur du 21ème siècle, il nous balaiera si nous ne réagissons pas rapidement et avec détermination. L’antiracisme permet à l’islam d’avancer partout et à la vitesse de l’éclair, sans avoir à combattre comme au temps de Charles Martel. Il conquiert la Belgique, la France, l’Europe et bientôt l’Amérique avec sa langue plutôt qu’avec son sabre. Pourtant nous le savons bien, chaque mosquée que nous acceptons sur notre sol, en l’ayant le plus souvent financée d’ailleurs, n’est rien d’autre qu’une avancée de l’islam et n’est rien d’autre que la soumission de notre pays, de notre culture, de nos valeurs à celles de l’islam. Parce que l’islam n’est pas qu’une religion, parce que l’islam n’est pas qu’une idéologie, parce que l’islam n’est pas qu’une loi, mais parce que l’islam est une loi, une idéologie et une religion tout à la fois. Le fleuve islam paraît tranquille tant qu’il est dans son lit. Mais quand il devient majoritaire, tel le fleuve qui sort de son lit, l’islam inonde tout sur son passage, et ne laisse que soumission et désolation derrière lui. Femmes, juifs, homosexuels, chrétiens, athées, tout ce qui n’est pas musulman doit le devenir ou se soumettre et devenir un être inférieur, de gré ou de force.
Il y a une phrase que j’aime à dire et à répéter, en anglais parce quelle a plus de sens dans cette langue je trouve, la voici : « Freedom isn’t free at all. It comes at the highest of cost, the cost of blood. » En français la liberté n’est pas gratuite, elle coûte ce qu’il y a de plus cher, le fait de verser son sang. Nos sociétés pacifiées depuis 1945 ont oublié qu’on ne garde pas la liberté sans la défendre, mais qu’on la perd en l’oubliant. N’oublions pas la liberté qui est encore la nôtre, et défendons-là, quel qu’en soit le prix. Nous avons encore cette chance de pouvoir le faire, car au rythme où vont les choses il sera bientôt trop tard.
Je dirais pour conclure qu’il ne faut pas avoir peur, il ne faut pas avoir peur de l’islam, mais il convient de le combattre inlassablement, et avec détermination car il veut notre mort, il n’y a absolument aucun doute là-dessus.
Rappelons-nous aussi que les musulmans sont les premières victimes de l’islam, gardons-nous de les viser et concentrons-nous autant que faire se peut sur ceux qui laissent nos pays, nos cultures, nos valeurs s’islamiser. Il convient de s’attaquer à l’idéologie que les musulmans croient être bonne pour l’humanité toute entière, et que nos dirigeants non-musulmans croient être une religion de paix et de tolérance. Et à ceux qui nous traitent d’extrême-droite, il faut rappeler inlassablement là-aussi que c’est l’islam qui est d’extrême-droite, donc c’est nous qui combattons l’extrême-droite et non eux. Je vous remercie. »